Les SOVIGNET

Cette famille se rattache aux deux précédentes tant par son milieu social que par ses liens de parenté. C'est par le mariage de Jean-Marie Sovignet et de Marie Teyssier que cette famille entre dans la zone d'influence de Marcoux. Installé aux environs de Riotord (à Labourier) et possédant de nombreux domaines, Sovignet met son savoir-faire au service des Teyssier : conseillant Caroline puis Jean-Pierre Adolphe, il sert d'intermédiaire à sa belle-sœur Augustine pour la gestion de son domaine de Robec et aide son mari en difficulté, prenant des hypothèques sur les immeubles que celui-ci possède à St Bonnet-le-Château. Il se charge aussi des relations avec le fermier du domaine de Besseas appartenant à Victorine Teyssier, trop éloignée pour s'en occuper. Ses relations avec Hélène et son mari sont également très étroites, mais ne débordent pas sur le plan économique ; en revanche ce sont des fils Sovignet (Jules et Régis) qui sont les tuteurs des enfants de leurs cousins Teyssier de Cellarier (Jean époux de Marie Celle) et Desmartins (Euphrasie épouse de Raymond Desmartins) décédés.

Les relations avec les Faurie sont tout aussi intimes, notamment par le mariage d'Auguste Sovignet avec la sœur (ou fille ?) de Paul Faurie. En 1921, le fils d'Auguste, Paul Sovignet, reçoit de sa mère le domaine et château de Marcoux, tandis que sa sœur Marguerite récupère le moulin de Marcoux (cette dernière partie passant ensuite au petit-fils d'Augustine Teyssier, Xavier Berger de St Nizier-du-Fornas).